Une histoire subjective du Proche-Orient mais néanmoins valide… je pense

Mars
MAR 26
19h
Théâtre
Durée 2h30 + entracte avec encas (1h)
À partir de 13 ans
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Une cartographie sensible du Proche-Orient

De et avec Lauren Houda Hussein Mise en scène Ido Shaked Musique (live) de Hussam Aliwat

Création lumières Léo Garnier Création sonore Thibault Champagne

Production +

Production Théâtre Majâz coproduction (En cours) Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine, Centre culturel Jean Houdremont à la Courneuve Résidences de création Théâtre des Quartiers d’Ivry – CDN du Val-de-Marne/ Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine/ Théâtre Châtillon Clamart Conventionné par la DRAC Ile-de-France.

 

Cie Théâtre Majâz - Lauren Houda Hussein et Ido Shaked

Avec ce spectacle en 3 épisodes, le temps d’une soirée, le Théâtre Majâz dessine une histoire de passions et de tragédies, d’identités morcelées et d’espoirs permanents. Mêlant récit et musique live, l’autrice et comédienne Lauren Houda Hussein et le oudiste Hussam Aliwat nous mènent du Proche-Orient à la banlieue parisienne. Dans une forme de stand-up tragi-comique, la narratrice raconte les rapports fondateurs entre l’Occident et l’Orient, entre nous et nos parents, entre ce que nous étions et ce que nous aspirons à devenir.

Beyrouth ou bon réveil à vous ! débute en 2006 : L est en voyage au pays de son père pour son 20ème anniversaire. Alors qu’elle doit assister à un concert de Fairuz, celui-ci est subitement annulé ; la guerre avec Israël commence. C’est l’histoire d’un passage brutal à l’âge adulte, la transmission d’un récit, familial et politique, entre un père et sa fille.

Jérusalem, premiers pas sur la lune est une traversée de l’autre côté de la frontière. Quelques mois après la guerre, L. en école de théâtre tombe amoureuse d’un israélien. Entre culpabilité et défiance, elle part voir le pays de l’autre côté. Celui-là même qui lui faisait la guerre un an auparavant ! Elle raconte leur amour impossible, son expédition à Paris…

Paris : L. est en train d’écrire la suite de cette histoire et se retrouve envahie par le personnage du père qui l’empêche de continuer. Pour pouvoir aller au bout de ce récit, elle va devoir le confronter à sa violence, à la guerre qu’il a infligée à sa propre famille, dans l’intimité de la maison. Dans un dernier voyage, elle creuse aux racines de l’amour et de la violence des hommes, et s’arme du pouvoir des mots pour y mettre un point final.

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