Chorégraphie Leïla Ka
Interprétation (en alternance) : Océane Crouzier, Jane Fournier Dumet, Leïla Ka, Jade Logmo, Justine Agator, Adèle Bonduelle, Lise Messina, Flore Ruiz
Assistante chorégraphique Jane Fournier Dumet
Création lumière Laurent Fallot
Régie lumière en alternance Laurent Fallot, Clara Coll Bigot
Régie son Rodrig Desa
PRODUCTION
Production CENTQUATRE-PARIS et Cie Leïla Ka
Coproduction La Garance – Scène nationale de Cavaillon, Théâtre Malakoff – Scène nationale, Théâtre d’Angoulême – Scène nationale, Théâtre de Suresnes Jean Vilar – festival Suresnes Cités Danse 2024, Centre Chorégraphique National d’Orléans – Direction Maud Le Pladec, Centre Chorégraphique National – Ballet de Lorraine direction Petter Jacobsson dans le cadre de l’Accueil-studio, Les Quinconces et L’Espal – Scène nationale du Mans, Espaces Pluriels – Scène conventionnée d’intérêt national Art et création – Danse de Pau, La Manufacture – CDCN Nouvelle-Aquitaine Bordeaux/La Rochelle, La Passerelle – Scène nationale de Saint-Brieuc, Fondation Royaumont, Espace 1789 – Scène conventionnée d’intérêt national Art et création pour la danse de Saint-Ouen
Soutien financier Le Quatrain – équipement culturel de Clisson Sèvre et Maine Agglo, Ville de Gouesnou – Centre Henri Queffélec
Mécénat Caisse des Dépôts
Aide à la résidence Fondation Royaumont / Fondation d’entreprise Hermès
Leïla Ka est artiste associée à Dieppe scène nationale, artiste complice à La Garance, scène nationale de Cavaillon, à la MC2, scène nationale de Grenoble.
La compagnie bénéficie du soutien de la Fondation BNP Paribas depuis 2024.
Cie Leïla Ka
Sur scène, des robes. De soirée, de mariée, de chambre, de tous les jours, de bal. À paillettes, longues, bouffantes, ajustées, trop grandes. Des robes qui volent, qui brillent, qui craquent, qui tournent, qui traînent ou qui tombent. Des robes empires, à baleines, de celles qui valsent sur Léonard Cohen ou bien des robes en pleurs, mal cousues, légères, sans armatures, nouées sur le ventre. Et puis des robes seules, rebelles, enjouées sur fond de basses électroniques. Sur scène, elles sont cinq à porter ces robes. Cinq danseuses qui transpirent parce que vivantes.
La chorégraphe Leïla Ka propose sa première pièce de groupe. Elle y dévoile et habille dans tous les sens du terme les fragilités, les révoltes et les identités multiples portées par cinq interprètes femmes et quarante robes, pour tenter une exploration du féminin.
Nommée pour le Rose Prize du Sadler’s Wells Theatre à Londres en 2025, Leïla Ka met en scène la sororité dans ce qu’elle a de plus évident de façon puissamment théâtrale et en faisant preuve d’une redoutable précision.