Juillet
DIM 14
23h
Théâtre
Durée 2h15
Dès 15 ans
Prix libre et conscient
Prix libre et conscient
Conception et mise en scène Rachel Dufour Avec Belaïd Boudellal, Marie-Anne Denis, Jessy Youssef Khalil, Noëlle Miral, Pierre-François Pommier, Rachel Dufour Collaboration artistique Chrystel Pellerin Création musicale et musique au plateau Belaïd Boudellal Création et régie lumière François Blondel et Théotime Aguilar Scénographie Yolande Barakrok Construction François Jourfier Soutien chorégraphique Stéphanie Jardin Éclairage philosophique Gérard Guieze
Production +
Coproductions et accueils en résidences de création La Comédie – Scène Nationale de Clermont-Ferrand (63) | Théâtre Jean Lurçat – Scène Nationale d’Aubusson (23) | Accès Soirs – Scène labellisée Auvergne Rhône Alpes -Ville de Riom (63) | La 2Deuche – Scène labellisée Auvergne Rhône Alpes – Lempdes (63) | Le Quatrain – Clisson et Sèvres Communauté (44) | Théâtre des Trois Chênes Loiron-Ruillé (53) | La Palène – Rouillac (16)
Accueils en résidence hors coproductions : La Cour des Trois Coquins – Scène vivante de la Ville de Clermont-Ferrand (63) | Théâtre du Point du Jour – Lyon (69)
Soutien à la résidence Théâtre du Point du Jour – Lyon (69)
Avec le soutien de la Ville de Clermont- Ferrand et des Contre-Plongées (63)
Aides à la création 2024 ADAMI | Conseil Départemental du Puy de Dôme en cours
Les guêpes rouges-théâtre est une compagnie conventionnée par le Ministère de la Culture – Drac Auvergne-Rhône-Alpes et par la Ville de Clermont-Ferrand (63) |Compagnie conventionnée et labellisée « Compagnie Région Auvergne-Rhône-Alpes »
Rachel Dufour - Cie Les guêpes rouges - théâtre
Acte 1 : 14 juillet
À partir du récit d’Éric Vuillard qui retrace la journée du 14 juillet 1789, vivez 24 heures dans la vie d’une foule qui devient un peuple. Les frontières sont floutées entre fiction et temporalité réelle, entre scène et salle, entre spectateur·ices et peuple. Ça déborde ? Normal, c’est la Révolution. La scène sort de ses limites et devient l’agora formidable autour de laquelle se rassemble et se construit un lendemain qui chante. Le cadre s’ouvre, on convoque l’Histoire et ça agit(e).
Acte 2 : 7 fois la révolution
La frontière entre la salle et la scène est abolie. C’est une recherche de fête commune, puisque la fête comme la Révolution ne vit que de la puissance d’unir. Nous ne nous connaissons pas, presque rien ne nous unit encore, si ce n’est une certaine vibration. Ça ressemble à un lendemain de révolution.
